•  RESULTATS 1er TOUR - au second tour N : NON / 0 : OUI - E : élu

    Nom Code postal Ville  
    Mathilde Sabino (FG)   MORET-SUR-LOING T N
    Henrique Pinto (EELV) CHILLY-MAZARIN T
    José De Sousa (PRG)   CHILLY-MAZARIN T
    Antonio Luis Gonzaga (PRG) ÉVRY-SUD T
    Daniel Dos Santos (FN); CHOISY-LE-ROI T O
    Brigite dos Santos FN   CHOISY-LE-ROI S O
    Vasco Coelho (UMP)   CHOISY-LE-ROI S N
    Jorge Carvalho (MoDem) VILLEJUIF-EST S
    Stéphane Cesario (MoDem); HERBLAY T
    Pierre-Louis Monteiro(Modem) Auxonne. S
    Gabrielle Corbeau-Mendes (NPA) Graulhet S
    Alexandra Martin Fernandes Guimaraes Valdériès S
    Célia LECAILLE-SOARES DIAS SALIGNAC S
    Cristina Pascual (PS)   Montreuil S
    Alexandra Custodio (UMP) Saint Etienne Nord est 1 T
    Madeleine DA SILVA   PERPIGNAN I S
    Michel MARQUES   PRATS DE MOLLO S
    DE OLIVEIRA CHRISTELLE LE CAYLAR S
    MARTINS MARIE   MAUGUIO S
    GONCALVES YVETTE SERVIAN S
    OLIVEIRA E COSTA   GRISOLLES S
    PAULO NICOLE (PS)   FIGEAC EST T
    ANTUNES JULIEN (FN) MONT DE MARSAN NORD T
    AFONSO ANABELA   CASTETS S
    FERREIRA CELINE   ST VINCENT DE TIROSSE S
    DE FREITAS Patricia   CAPTIEUX S
    NUNES Christopher (EE) PAUILLAC T
    TEIXEIRA Christine   SAINT-SYMPHORIEN S
    CARDOSO MARIE CHRISTINE (FN) XAINT AMANT DE BOIXE T
    DA COSTA ROSE (NC) NIMES 3 T
    ARMANDO JACQUES (DR) NIMZS 4 T
    CALDAS MARTINE   ST ANDRE DE VALBORGNE S
    DA COSTA ANDRE PAUL (FN) SUMENE T
    SUBTIL SIMON (modem) UZES T
    TORRES SANDRA (UMP) LA SEYNE SUR MER T
    PEREIRA ADELINA   ESCARENE S
    CARVALHO Martin UDL Marseille – La Pomme S
    CHAUSSENDE-SAL VADOR Sandrine Privas: S
    PEREIRA Nicolas (UMP) REMUZAT T
    RODRIGUES Mickaël (DG) VALENCE IV T
    Tiphaine FERNANDES LeG randL emps S
    Valérie DA SILVA   Vlorest S
    christophe CUNHA (PCF) St Geoiree n Valdaine T
    Christine CURTO RODRIGUES SANTOS Vina S
    Michel DA CUNHA (PS) BRIVES NORD OUEST T
    TEIXEIRA SYLVIE   CORREZE S
    Sylvie FILIPE DA SILVA LIMOGES/LA BASTIDE S
    Maria SIMOES   BELLAC S
    Nathalie CHERVET-TEIXEIRA (PS) CUSSET NORD T
    Raoul MESTRE (SI)   LA ROCHE SUR YON NORD T
    Elisabeth ANTUNES   COULONGES-SUR-L'AUTIZE S
    DA SILVA DOMINGUES Joaquim POITIER 4 S
    RODEIA Dominique   NIEVRE EST S
    DE ALMEIDA Marie-Hélène SAINT SAULGE S
    VERMOREL DE ALMEIDA Nathalie (PCF) CHALONS SUR SAONE SUD T
    DE ALMEIDA Jean-Michel (FG) SAINT GERMAIN DU PLAIN T
    PINTO Maria   CLUNY S
    DELPUECH DE COMEIRAS Cécile (FN) CLUNY T
    Marielle BORGES   ARINTHOD S
    Julien DA ROCHA (N)   LONS NORD T
    Pascal LOUREIRO (PCF) SELLIERES T
    DA SILVA Corinne   ETUPES S
    MONTEIRO Pierre-Louis (Modem) AUXONNE T
    DE ALMEIDA Isabelle (PC) DIJON IV T
    SILVESTRE Christelle   MONTBARD S
    JOAQUINA Isabelle   AUXERRE EST S
    RODRIGUES Christine SEIGNELEY S
    OLIVEIRA Fernande   Pontault-Combault S
    OLIVEIRA Amandine   VILLIERS-SAINT-GEORGES S
    SUBTIL Bruno (FN)   TROYES II T
    SANTANA Jenifer (ind) MUNSTER T
    SANTIAGO MANUEL (Verts) STRASBOURG II T
    RIBEIRO Manuela   CONFLANS EN JARNISY S
    CORREIA Nicole   VILLERUPT S
    PEREIRA Agnès   ANCERVILLE S
    NEIVA Joaquim (PCF)   MACHAULT T
    RIBEIRO Antonio (GM) Saint-Quentin Nord T
    DUARTE Sylvie   RIBEMENT S
    CAMÕES Estelle   AMIENS VI SUD S
    LEITE Antnony (PR)   AMIENS VII SUD OUEST T
    BRANDÃO Delphine   COMBLES S
    MIRANDA Martine   CHAUMONT EN VEXIN S
    GUIMARAES Elisabeth (EELV) MARSEILLE EN BEAUVAISIS T
    CARVALHO Patrice (PC) RIBECOURT-DRESLINCOURT T
    DE BARROS Brigitte   AUMALE S
    Sylvia ALVES (FN)   CHATEAUNEUF EN THYMERAIS T
    TAVARES Claude   GRAND PRESSIGNY S
    OLIVEIRA Céline   TOURS SUD S
    ANTONIO Manuela   TOURS NORD OUEST S
    DA COSTA Antoine   ANGERS OUEST S
    BARBOSA Denise   NANTES 9 S
    MAIA Pedro   RIAILLÉ T
    MOREIRA Albina   FOUGERES SUD S
    Maryse OLIVEIRA   CARROUGES T
    DA GRACA Laure (D)   VALOGNES S
    LOPES Carlos (EEV)   SAINT GERMAIN EN LAYE SUD S
    MOREIRA Maria Augusta (PS) ARGENTEUIL OUEST S
    GONCALVES Valerie (PCF) BEAUCHAMP S
    MENDES PEREIRA Ana Cristina (PCD) GONESSE S
    ALVES RODRIGUES Mickael (divers) RAINCY S
    GOMES Stephanie (PCF) ALFORTVILEE SUD T
    SANTIAGA ISABELLE (PS) ALFORTVILEE SUD
    DIAS Sandrine (RPF)   BONNEUIL SUR MARNE S
    PARREIRA PEGGY (UMP) CHENNEVIERES SUR MARNE S
    Michel BEATO (FN)   FLEURY-LES-AUBRAIS T
    Jacques FERNANDES (SOC) PUISEAUX T

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  • Les élections cantonales de 2011 comportent à la fois des enjeux de portée nationale, des enjeux locaux propres aux 101 conseils généraux et des enjeux à caractère financier mis en lumière par la réforme des collectivités territoriales et la crise économique et financière.

    Des enjeux de portée nationale

    La moitié des cantons sont renouvelés et les résultats sont susceptibles de modifier les équilibres politiques dans certains départements. A cet égard, le résultat des élections cantonales sera sans nul doute diversement apprécié dans la perspective du prochain renouvellement partiel du Sénat, qui aura lieu en septembre 2011. En effet, dans chaque département, les sénateurs seront désignés par un collège électoral formé d’élus de cette circonscription, issus du suffrage universel : députés, conseillers régionaux, conseillers généraux et conseillers municipaux.

    Que révèle l’état des forces en présence ? Dans les quelque 2 000 cantons soumis à renouvellement en 1998, la gauche avait gagné environ 200 sièges et 10 départements, puis à nouveau autant en 2004. Depuis 2004, la gauche contrôle 58 conseils généraux, contre 39 pour la droite.

    Les élections cantonales sont-elles des élections à faible enjeu et à forte abstentionAbstentionNon participation à un scrutin ? Comme souvent lors d’élections dites "intermédiaires" (c’est-à-dire entre deux élections présidentielles), les majorités en place, qui s’attendent à un résultat défavorable, avancent l’idée que les élections cantonales concernent peu les Français et qu’il convient de "dépolitiser" le débat ; l’opposition souligne, au contraire, toute l’importance de leur politisation. L’étude du taux de participation aux élections cantonales depuis 1976 montre cependant qu’il n’a jamais été inférieur à 60% (à l’exception des cantonales 1988), taux de participation proche de celui enregistré lors des élections législatives.

    Le mode de scrutin des élections cantonales est toujours matière à controverse : il est notamment accusé de favoriser les "gros" (UMP et PS) au détriment des "petits" (Verts, Centristes et Front national, notamment). En témoignent les débats suscités au ParlementParlementOrgane collégial qui exerce le pouvoir législatif (adoption des lois et contrôle du pouvoir exécutif). En France, le Parlement est composé de deux chambres : l’Assemblée nationale et le Sénat. par la réforme territoriale de 2010 concernant le relèvement du seuil de voix nécessaires pour être présent au second tour (de 10% à 12,5%), dans le but affiché d’éviter les "triangulaires".

    Pour chaque canton, un conseiller général est élu au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Pour être élu au premier tour, un candidat doit obtenir au moins la majorité absolueMajorité absoluePlus de la moitié des suffrages exprimés. des suffrages exprimés (plus de 50%) et un nombre de suffrages égal à au moins 25% des électeurs inscrits. Pour être candidat au second tour, il faut avoir obtenu au premier tour un nombre de suffrages désormais au moins égal à 12,5% des électeurs inscrits. Toutefois, si un seul candidat franchit cette barre, le candidat arrivé en seconde position peut se maintenir. Le candidat qui obtient le plus grand nombre de suffrages est élu.

    Des enjeux à caractère local

    Un lieu commun, sans cesse répété, voudrait que les Français se désintéressent des affaires départementales en raison de leur caractère plus administratif que politique. La création des départements, en 1789, avait en effet pour objectif de rapprocher le citoyen de l’administration (en rendant tout chef-lieu de département accessible à une journée à cheval) et de simplifier le maillage territorial de l’Ancien Régime.

    Aujourd’hui, et bien que le pourcentage des dépenses obligatoires imposés par la loi aux départements (article L.1612-15 du Code général des collectivités territoriales) apparaît élevé, il n’en demeure pas moins que les conseils généraux influent sur le développement des départements et disposent de marges de manœuvre, notamment en matière de subventions d’équipement ou de politiques d’insertion.

    Le département exerce des responsabilités dans quatre domaines d’action.

    • Le plus important est l’action sociale, qui regroupe l’aide sociale à l’enfance, l’aide aux handicapés, aux personnes âgées, l’insertion sociale et professionnelle, l’aide au logement, la protection judiciaire de la jeunesse, ainsi que la protection sanitaire de la familleFamilleGroupe de personnes liées par des liens de filiation et d’alliance. et de l’enfance.
    • Le conseil général est compétent en matière d’aménagement de l’espace et d’équipement (notamment voirie, transports scolaires, ports maritimes de commerce et de pêche, aérodromes civils, ainsi que l’aménagement, l’entretien et l’exploitation des cours d’eau, lacs et plans d’eau domaniaux transférés aux départements).
    • Les compétences du département comprennent également la construction, l’équipement et le fonctionnement des collèges, la responsabilité des équipements culturels départementaux (bibliothèques centrales de prêt, archives et musées départementaux), ainsi que l’entretien et la restauration du patrimoine classé ou inscrit, n’appartenant pas à l’État ou à ses établissements publics.
    • Enfin, en plus de sa participation au financement des aides économiques aux entreprises, le département peut, depuis la loi du 13 août 2004, mettre en œuvre ses propres régimes d’aides, avec l’accord de la région qui coordonne sur son territoire les actions concernant le développement économique.

    Des enjeux financiers

    L’Observatoire des finances locales fait état, dans son rapport annuel publié en juillet 2010, de la dégradation des finances départementales, confrontées à un effet de ciseau entre des dépenses sociales en forte hausse (allocation personnalisée d’autonomie, prestation de compensation des personnes handicapées et le revenu de solidarité active-"RSA") et des recettes en stagnation (impact de la récession). Pour certains départements, cet état de fait est imputable à "la non-compensation" par l’Etat des charges qu’il a transférées aux collectivités territoriales. En signe de protestation, le département de Seine-Saint-Denis avait ainsi choisi de voter en 2010 un budget primitif déficitaire de 75 millions d’euros, montant estimé des charges transférées et "non compensées" par l’État au titre de l’année 2011.

    Certains des départements les plus en difficulté souffrent également de la souscription d’emprunts à taux révisables auprès de banques qui, sous couvert de renégocier leur dette, ont multiplié ce type d’offres au début des années 2000. Les évolutions des annuités de remboursement de ces emprunts renchérissent d’autant le coût des investissements ainsi financés et participent des difficultés financières de ces collectivités. La loi de financesLoi de financesLoi qui détermine, pour un exercice (une année civile), la nature, le montant et l’affectation des ressources et des charges de l’État, ainsi que l’équilibre budgétaire et financier qui en résulte. pour 2010 (article 83) avait prévu la création d’un fonds de soutien aux départements en difficulté financière (préconisation du rapport de Pierre Jamet remis au Premier ministre en avril 2010), doté de 150 millions d’euros. Le 8 février 2011, le ministre chargé des collectivités locales a présenté un projet de décret précisant les conditions de fonctionnement de ce fonds. Afin de viser les départements les plus en difficulté, ce texte prévoit que les critères d’attribution de cette aide devraient combiner le potentiel financier du département, le revenu moyen par habitant, ainsi que le nombre de personnes âgées de 75 ans et plus.

    Pour l’Observatoire des finances locales (rapport annuel 2010), le resserrement des marges de manoeuvre des départements s’est amorcé dès 2007, confirmé en 2008 et 2009, et amplifié en 2010. Combinée avec les incertitudes sur les effets durables de la crise et l’impact réel de la réforme de la taxe professionnelle, dans le contexte actuel du gel des dotations (loi de finances pour 2011), cette contrainte pourrait encore se renforcer, si la conjoncture n’évolue pas favorablement en 2011.


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    Liste des candidats Français d'origine Portugaise pour les élections cantonales 2011
    Listagem dos candidatos de origem Portuguesa para as eleições distritais 2011

    Les conseillers généraux de chaque département sont élus, au suffrage universel direct, par les électeurs français lors des élections cantonales.
    Os Conselheiros Gerais de cada distrito é eleito, ao sufragio universal, pelos eleitores franceses nas eleições cantonais (distritais).

    Durée du mandat / Duração do mandato

    La durée du mandat des conseillers généraux élus en 2008 est de 6 ans.
    O mandato dos Conselheiros Gerais eleitos em 2008 é de 6 anos.

    La durée du mandat des conseillers généraux élus en 2011 est de 3 ans.
    O mandato dos Conselheiros a eleger em 2011 é de 3 anos.

    Ils seront remplacés en mars 2014 par des conseillers territoriaux.
    Em 2014, os Conselheiros Distritais e Regionais (6000 Conselheiros) passaram a ser eleitos Conselheiros Territoriais (3000 conselheiros) em Março de 2014.

    Renouvellement par moitié / Renovação por metade

    Le conseil général est renouvelé par moitié tous les 3 ans (sauf décalage évoqué ci-dessus).
    O Conseil Geral (Distrital) é renovado por metade todos três anos.

    Lors de chaque élection cantonale, tous les électeurs ne votent pas, puisque seulement la moitié des cantons est concernée.
    Aquando das eleições cantonais, não votam todos eleitores, por so metade dos cantões (Distritos) serem renovados.

    Lors des élections des 20 et 27 mars 2011, seuls les électeurs des cantons renouvelés en 2004 participent aux élections.

    Candidats Français d'origine Portugaise aux élections cantonales 2011
    Candidatos Franceses de origem Portuguesa para as eleições cantonais (Distritos) 2011

    Mathilde Sabino (FG)                                                               MORET-SUR-LOING    T

    SANTIAGA ISABELLE (PS)                                                           ALFORTVILEE SUD             T

    DIAS Sandrine (RPF)                                                               Bonneuil S Marne S

    PARREIRA Peggy (UMP)                                                         CHENNEVIERES    S

    BEATO Michel (FN)                                                                  Fleury les AUBREY   T

    FERNANDES Jacques  (SOC)                                                  PUISEAUX            T

    Henrique Pinto (EELV)                                                              CHILLY-MAZARIN      T

    José De Sousa (PRG)                                                               CHILLY-MAZARIN      T

    Antonio Luis Gonzaga (PRG)                                                     ÉVRY-SUD     T

    Daniel Dos Santos (FN)                                                             CHOISY-LE-ROI      T

    Brigite dos Santos FN                                                                 CHOISY-LE-ROI     S

    Vasco Coelho (UMP)                                                                  CHOISY-LE-ROI      S

    Jorge Carvalho (MoDem)                                                            VILLEJUIF-EST       S

    Stéphane Cesario (MoDem)                                                       HERBLAY      T

    Pierre-Louis Monteiro(Modem)                                                   Auxonne     S

    Gabrielle Corbeau-Mendes (NPA)                                              Graulhet        S

    Alexandra Martin Fernandes Guimaraes                                    Valdériès       S

    Célia LECAILLE-SOARES DIAS                                                   SALIGNAC   S

    Cristina Pascual (PS)                                                                   Montreuil       S

    Alexandra Custodio (UMP)                                                          Saint Etienne Nord est 1    T

    Madeleine DA SILVA                                                                    PERPIGNAN I     S

    ...

    Liste Candidats Portugais d'Origine Portugaise 


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  • Porto, 11 fev (Lusa) – A moção de censura quinta-feira anunciada pelo BE é, para os politólogos António Costa Pinto e André Freire, uma tentativa de não deixar espaço ao PCP para liderar o protesto à esquerda, antecipando que o PSD não a deverá aprovar.

    Em declarações à Agência Lusa, António Costa Pinto explicou que o anúncio de Francisco Louçã de uma moção de censura a 10 de março “remete para a tentativa do Bloco de Esquerda (BE) não permitir que o PCP alargue ou ocupe o espaço na área de protesto à esquerda do PS”.

    “Estamos numa fase de não deixar que o PCP ocupe o espaço de protesto em relação a um BE, que se encontrará numa conjuntura difícil caso, a prazo, tenhamos um Governo de centro-direita”, defendeu o professor do Instituto de Ciências Sociais da Universidade de Lisboa.

    Também André Freire partilha esta ideia, acrescentando que esta moção do BE é uma “tentativa de encurralar o PSD” e “armadilhar o terreno para o obrigar a posicionar-se”.

    “Estão à espera que o PSD não aprove que é para eles dizerem, como costume, que o PSD é a muleta do Governo. É muita tática e pouca substância”, afirmou o investigador do Instituto Superior de Ciências do Trabalho e da Empresa.

    Já Carlos Jalali tem uma ideia diferente das motivações do bloquistas, afirmando que “ficaria surpreendido se esta moção fosse apenas tacticismo político do BE contra o PCP”, apenas preocupado com resultados eleitorais.

    “Tem a ver com uma certa redefinição da posição do BE e o separar de águas do PS depois da campanha de Manuel Alegre”, teorizou.

    Quanto ao sentido de voto da bancada social democrata, António Costa Pinto e André Freire antecipam que o PSD, em princípio, não irá deixar passar a moção.

    “Inclino-me para que o PSD, naturalmente fazendo a crítica, se abstenha, fazendo o papel de partido responsável, ganhando tempo e capitalizando votos”, avançou Freire.

    Costa Pinto refere que “o PSD terá todo o interesse em esperar pelo próximo Orçamento do Estado e por não criar imediatamente um cenário de crise política imediata”.

    “Em princípio, o PSD só terá interesse em fazer cair o Governo quando politicamente tiver a expetativa de ter uma confortável maioria, mesmo em coligação com o CDS-PP. Até agora isto ainda não é claro”, sustentou.

    Para Carlos Jalali, o partido de Passos Coelho tem que tomar “uma decisão complicada”, explicando que “as moções de censura têm custos eleitorais que não são facilmente avaliáveis para partidos como o PSD”.

    “Terá que avaliar os benefícios eleitorais que pode tirar viabilizando essa moção, ou seja, o que é que as sondagens dizem”, sublinhou o politólogo da Universidade de Aveiro, acrescentando que o partido “não terá ainda uma posição declarada e que irá aguardar até o mais tarde possível para tomar uma decisão”.

    O líder do BE, Francisco Louçã, anunciou quinta-feira que vai apresentar uma moção de censura ao Governo a 10 de março, um dia depois de Cavaco Silva tomar posse para um segundo mandato como Presidente da República, voltando a ser possível a dissolução do Parlamento.


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  • Visite Comunauté d"Agglomération de Seine et Marne. Val de Seine, Pays de Meaux et Marne et Gondoire.
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