• Le Conseil d'Etat a suivi l'avis du rapporteur public recommandé le 27 avril de valider les élections municipales d'Aulnay-sous-Bois, troisième ville de Seine-Saint-Denis (82.000 habitants), qui avaient été annulées par le tribunal administratif de Cergy-Pontoise, a-t-on appris auprès de la juridiction.

    Emmanuel Glaser avait proposé l'annulation du jugement du tribunal administratif, et donc la validation de l'élection de Gérard Ségura (PS). La décision, mise en délibéré, était  attendue hier puis repousser au 15 Mai.

    Le tribunal de Cergy-Pontoise avait annulé en octobre 2008 le résultat du second tour des municipales de mars 2008, à la suite de plusieurs recours déposés par le maire sortant Gérard Gaudron (UMP), battu de 204 voix, et par le candidat du Modem.

    Il avait retenu contre Gérard Ségura la présence d'affichettes apposées à l'entrée de bureaux de vote qui contestaient la probité de Gérard Gaudron ainsi que des agréssions sur des membres du MoDem.

    Le Conseil d'Etat a donc validé l'élection de Gérard Ségura.

     

    O Conselho d' Estado seguiu o parecer do relator público recomendado a 27 de Abril para validar as eleições municipais d' Aulnay-sous-Bois, terceira cidade de Seine-Saint-Denis (82.000 habitantes), que tinham sido anulados pelo tribunal administrativo de Cergy-Pontoise, fonte do órgão jurisdicional.
    O Relator Público, Emmanuel Glaser tinha proposto a anulação do julgamento do tribunal administrativo, e por conseguinte a validação da eleição de Gérard Ségura (PS). A decisão, a decisão em deliberado, era esperada ontem mas marcada finalmente para o 15 de Maio.
    O tribunal de Cergy-Pontoise tinha anulado em Outubro de 2008 o resultado da segunda volta do municipais de Março de 2008, na sequência dos vários recursos depositados pelo presidente da câmara municipal, até 2008, Gérard Gaudron (UMP), batido de 204 vozes, e pelo candidato do Modem.
    Tinha retido contra Gérard Ségura a presença de cartazes afixados à entrada de mesas de votos que contestavam  a integridade de Gérard Gaudron bem como das agressões sobre membros do Modem.
    O Conselho d' Estado por conseguinte validou l' eleição de Gérard Ségura.

    votre commentaire
  • Les dix neuf personnes qui ont été interpellées dans la nuit après des échauffourées entre deux bandes rivales à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), se trouvent toujours en garde à vue.
    Les deux bandes du quartier des Mille-Mille se sont affrontées entre 23 heures et minuit avec des battes de base-ball et des barres de fer, comme le révélait ce matin "le Parisien",.
    A l'arrivée des CRS, une centaine de jeunes se faisaient face. 19 ont été interpellés, dont deux mineurs.

    "Entre 23HOO et minuit, deux bandes de jeunes du quartier des Mille-Mille à Aulnay-sous-Bois se sont affrontées avec des +battes+ de base-ball et des barres de fer, sans faire de blessé", a indiqué à l’AFP la sous-préfecture de Saint-Denis. "Le reste de la nuit a été calme" et "nous ne connaissons pas l’origine de cet affrontement", a-t-on ajouté de même source. "Dix-neuf personnes ont été interpellées et placées en garde à vue", a ajouté une source judiciaire.

    AFP

    "Nous avions la volonté de réunir toute la ville évitant les frictions. La campagne de l'actuel Maire (Elu le 21 Mars 2008) était l'opposition des uns contre les autres, quartier contre quartier. Moins de 15 jours apres son élection, Aulnay-sous-Bois fait l'info avec se qu'il y a de pire : des violences gratuites, des violences en bande, des violences quartier contre quartier..." Dit Paulo Marques ancien élu d'Aulnay-sous-Bois de 1995 à mars 2008, Président de CIVICA, candidat sortant du Conseil des Portugais de l'étranger élections le 20 avril dans les consulats Portugais en France.


    votre commentaire
  • Attractivité de l’université française, promotion de la langue et de la culture françaises, présence médiatique de la France au plan international : tels sont les axes de l’action que mènera Jean-Marie Bockel pour la défense de la francophonie dans le monde.

    A l’occasion des Journées Culturesfrance des 19 et 20 juillet, Jean-Marie Bockel a présenté les enjeux de la coopération culturelle et linguistique : économiques - les métiers de la culture sont en forte croissance, le patrimoine culturel contribue à l’activité touristique -, et en matière de rayonnement sur la scène internationale.

    "La recherche et la formation des élites constituent de puissants leviers de développement", a souligné Jean-Marie Bockel en rappelant que Campusfrance, créé en mars 2007, a vocation à aider les étudiants étrangers à faire leurs études supérieures et à s’installer professionnellement en France.

    La promotion du français dans le monde passe également par son maintien comme langue de travail de l’UE, et par "sa place de grande langue de communication internationale".

    Evoquant la complémentarité entre le réseau mondial TV5, francophone, et France 24, chaîne d’information multilingue diffusée en continu, le secrétaire d’Etat a souhaité la création d’un portail internet en langue anglaise "facilitant l’accès des internautes au débat d’idées à la française".


    votre commentaire
  • Fête Nationale - 14 juillet 2007

    La traditionnelle réception de la Fête Nationale à l’Ambassade de France aura lieu le samedi 14 juillet de 18h30 à 21h (Palais de Santos, rua Santos-o-Velho, 5).

    Les Français, résidents ou de passage au Portugal, y sont cordialement invités. Ceux qui désirent assister à cette manifestation sont priés de retirer leur invitation auprès de la section consulaire de l’Ambassade, Calçada Marquês de Abrantes, 123 (tél. : 21 393 92 92) avant le 13 juillet ou de présenter une pièce d’identité française à l’entrée de l’Ambassade, le 14 juillet.

    Pour des raisons de sécurité, les enfants de moins de 11 ans ne pourront malheureusement pas participer à la fête. Par ailleurs, le port de sac à dos et de mallettes est prohibé et une tenue correcte est exigée.

    SITE Ambassade de France - Portugal


    votre commentaire
  • ASSEMBLÉE L'intervention du président de la Commission européenne a divisé les députés. Il a invité la France à ne pas se prendre pour le «malade imaginaire». 
                                                                                                                                   
    JOSé MANUEL BARROSO a fait preuve hier (25.01.06) d'une remarquable pugnacité pour défendre, dans l'hémicycle de l'Assemblée, «l'Europe des projets», «une Europe qui gagne». En présence de plusieurs ministres français et du seul commissaire français à Bruxelles, Jacques Barrot, le président de la Commission européenne s'est exprimé dans un français remarquable, et n'a pas hésité à moucher les présidents des groupes de gauche, Alain Bocquet (PCF) et Jean-Marc Ayrault (PS). A ce dernier, qui l'a accusé de placer l'Europe au «pain sec de l'idéologie unique, celui du tout libéral», il a rétorqué : «Il y a eu à l'égard de la Commission et de moi-même une véritable caricature», se faisant un malin plaisir de citer les noms de commissaires socialistes allemand, espagnol et tchèque.

    «Il les as cloués !»

    «S'il y avait un gouvernement communiste en Europe, je recevrais volontiers son représentant, mais il n'y en a pas !», a ajouté, cinglant, Barroso, sous un tonnerre d'applaudissements à droite et les huées de la gauche. Dans un brouhaha indescriptible, Alain Bocquet l'a ensuite accusé de «fléchir devant le grand patronat». L'ancien premier ministre portugais s'est alors taillé un franc succès dans les rangs UMP et UDF en lançant : «Ce n'est pas avec un discours contre les entreprises que vous allez créer plus d'emplois !»

    Avec une voix forte mais posée, toujours souriant, Barroso a rappelé que le projet de directive Bolkestein sur les services, dont la gauche française réclame le retrait, «a été présenté par la commission Prodi (NDLR : du nom de son prédécesseur de centre gauche)». Une précision destinée à souligner l'incohérence des députés PS français, qui se sont alignés hier sur les positions anti-européennes du PCF, après avoir, sous le gouvernement Jospin, donné leur feu vert à la libéralisation des transports ou de l'énergie.

    Barroso a expliqué que la Commission «attend démocratiquement» l'issue des débats au Parlement européen sur la directive Bolkestein, prévus à partir du 14 février. «Nous voulons améliorer la directive avec le Parlement européen. Il faut trouver une solution équilibrée qui ne mette pas en cause nos acquis sociaux, notamment le respect du droit du travail du pays hôte», a insisté le président de la Commission. Ce dernier considère néanmoins qu'«il faut avoir le courage de moderniser l'économie européenne (...) si l'Europe veut gagner la bataille de la compétitivité». Barroso a par ailleurs souligné que la libéralisation des services ne concerne pas les «services d'intérêt économique général», selon le vocabulaire utilisé à Bruxelles pour désigner les services publics.

    Barroso a surtout vanté «l'extraordinaire capacité de rebond» de la France, estimant que le rejet du traité européen par les Français «ne doit pas être une excuse pour la paralysie». Vantant les «éclatantes réussites mondiales qui doivent tant à l'initiative française, comme Airbus ou Ariane», le président de la Commission a ironisé : «Je lis ici ou là, dans vos journaux, que la France serait atteinte d'une mélancolie, je vois même le terme malaise. Je me demande si le pays de Molière ne céderait pas à la tentation du malade imaginaire !»

    Barroso s'est dit «convaincu que le soutien de l'opinion en faveur de la modernisation des institutions (...) viendra en son temps, une fois la confiance restaurée» grâce à «une nouvelle dynamique politique». Mais en juin prochain, à la fin de la présidence autrichienne, «nous ne serons pas encore prêts pour dégager un consensus institutionnel européen».

    A l'issue de la séance, Jean-Louis Debré semblait conquis : «On n'a jamais autant et aussi bien parlé de l'Europe. Le dialogue a été direct, vif, incisif. Certains attendaient un technocrate, ils ont eu un vrai politique. Il les a cloués !»

    FONTE : '[www.lefigaro.fr]'

    Em Português

    JOSé MANUAL BARROSO tem demonstrado ontem (25.01.06) notável pugnacidade para defender, no hemiciclo da Assembleia, "a Europa dos projectos", "uma Europa que ganha". Na presença de vários ministros franceses e o único Comissário francês em Bruxelas, Jacques Barrot, o presidente da Comissão europeia exprimiu-se num francês notável, e não hesitou a afirmar-se aos presidentes dos grupos de esquerda, Alain Bocquet (PCF) e Jean- Marc Ayrault (PS). À este último, que acusou-o de colocar a Europa ao "pão seco da ideologia única, o todo liberal", respondeu: "houve em relação à Comissão e a mim uma verdadeira caricatura", que faz-se um prazer de citar os nomes de Comissários socialistas alemães, espanhóis e checos.
    "pregou-os!"
    "se houvesse um governo comunista na Europa, receberia de boa vontade o seu representante, mas lá não tem!", acrescentou, fustigando, Barroso, sob um trovão de aplausos à direita e huées da esquerda. Numa "barafunda" indescriptivel, Alain Bocquet acusou-o seguidamente de "dobrar na frente do grande patronato". O antigo primeiro ministro português então encontrou um franco sucesso nas filas UMP e UDF lançando: "não é com um discurso contra as empresas que vai criar mais empregos!" Com uma voz forte mas posta, sempre sorrindo, Barroso recordou que o projecto de directiva Bolkestein sobre os serviços, cuja esquerda francesa reclama a retirada, "foi apresentado pela comissão Prodi (ANOTAÇÃO: do nome do seu antecessor de centro esquerdo)". Uma precisão destinada a sublinhar a incoerência dos deputados PS franceses, que se têm alinhado ontem pelas posições antieuropéias do PCF, após, sob o governo Jospin, ter dado a sua luz verde à liberalização dos transportes ou a energia.
    Barroso explicou que a Comissão "espera democraticamente" a saída dos debates ao Parlamento Europeu sobre a directiva Bolkestein, previstos a partir do 14 de Fevereiro. "Queremos melhorar a directiva com o Parlamento Europeu." É necessário encontrar uma solução equilibrada que não ponha em causa os nossos acervos sociais, nomeadamente o respeito do direito do trabalho do país hóspede ", insistiu o presidente da Comissão." Este último considera no entanto que "é necessário ter a coragem de modernizar a economia europeia (...) se a Europa quer ganhar a batalha da competitividade". Barroso além disso sublinhou que a liberalização dos serviços não se refere aos "serviços de interesse económico geral", de acordo com o vocabulário utilizado em Bruxelas para designar os serviços públicos. Barroso sobretudo elogiou "a extraordinária capacidade de salto" da França, considerando que a rejeição do tratado europeu pelos Franceses "não deve ser uma desculpa para a paralisia". Elogiando "incontestáveis os sucessos mundiais que devem tanto à iniciativa francesa, como Airbus ou Ariane", o presidente da Comissão ironisa : "Leio aqui ou lá, nos vossos jornais, que a França é atingida de uma melancolia, vi mesmo o termo indisposição." Interrogo-me se o país de Molière não rende a tentação do doente imaginário!"" Barroso disse-se "convencido que o apoio da opinião em prol da modernização das instituições (...) virá no seu tempo, uma vez a confiança restaurada" graças "uma nova dinâmica política". Mas em Junho próximo, no fim da presidência austríaca, "não seremos ainda prontos para libertar um consenso institucional europeu". À saída da sessão, Jean- Louis Debré parecia conquistado: "Nunca se falou tanto e tão bem da Europa." O diálogo foi directo, vivo, incisivo. Alguns esperavam um tecnocrata, tiveram um verdadeiro política. Pregou-os!""

    Jornal Francês Le figaro


    votre commentaire
  • A l'occasion de la recontre intergouvernementale franco-portugaise, Paulo Marques se rendra à l'hôtel Matignon le lundi 10 Avril 2006 à 12 h 30.

    Notre présence et intervention marque l'importance de notre participation au débat public.
    En effet, l'invitation du gouvernement de la France montre son interet à nous inclure aux diverses discutions.

    Invitation Premier Ministre, Dominique De Villepin


    Segunda cimeira Luso-Francesa junta Socrates e De Villepin em Paris.

    O Primeiro Ministro Português, José Socrates, vai reunir-se em Paris com o seu homologo Francês, Dominique de Villepin, na segunda cimeira luso-francesa, que tera a inovação tecnologica, o conhecimento e a competitividade como temas.
    Em Paris, antes da cimeira governamental, Socrates tera um encontro com o Presidente Francês, Jacques Chirac, no Palacio do Eliseu...
    Agencia Lusa


    votre commentaire
  • Le Président de la République a reçu M. José SOCRATES, Premier ministre du Portugal, pour un entretien à l'occasion de la "rencontre franco-portugaise de haut niveau", présidée par les deux Premier ministre.

    L'entretien a été consacré au renforcement des relations entre le Portugal et la France, qui ont été qualifiées d'excellentes tant par le Président de la République que par le Premier ministre SOCRATES. Plusieurs sujets ont été abordés à cet égard.

    Tout d'abord, la coopération technologique entres les deux pays. Le Président de la République a souhaité que cette réunion soit l'occasion d'une impulsion au rapprochement entre le processus des pôles de compétitivité français et les démarches similaires engagées par le Portugal.

    Deuxième thème de renforcement, l'Afrique. Le Président de la République a approuvé la proposition portugaise de mettre l'accent sur les relations avec l'Afrique lors de sa présidence de l'Union européenne, au deuxième semestre 2007. Il s'est également félicité que le Portugal ait décidé de participer à l'opération de l'Union européenne en République démocratique du Congo sous l'égide de l'ONU.

    Troisième sujet abordé pendant cette conversation, le Moyen-Orient et en particulier l'Iran. Le Président de la République a réaffirmé l'objectif d'une solution diplomatique et l'exigence que l'Iran se conforme à ses obligations internationales et aux demandes de l'AIEA et du Conseil de sécurité.

    S'agissant de l'Europe, le Président de la République et le Premier ministre SOCRATES ont constaté la convergence des approches du Portugal et de la France autour d'une politique qui vise à renforcer l'Europe des projets et conforter ainsi son potentiel de croissance dans l'esprit de la stratégie de Lisbonne. Le Président de la République a évoqué également le Conseil européen de juin, qui sera l'occasion de faire le point sur le traité constitutionnel ainsi que sur la stratégie d'élargissement de l'Union.

    Paulo Marques à tenu que l'on considére urgent, la place de l'information concernant les droits citoyens et civique, acquis depuis 1994, des ressortissants Européens résident en France.

    Portugal e França reforçam cooperação educativa e científica

    França e Portugal deram ontem, por ocasião da segunda cimeira franco-portuguesa, mais um passo para intensificar as relações culturais, tecnológicas e económicas. Entre o frenesi vivido no Eliseu e em Matignon, devido à necessidade do Governo francês resolver a crise do contrato de primeiro emprego, os ministros da Educação e Investigação de ambos os países assinaram um protocolo de cooperação educativa e uma declaração que visa reforçar a cooperação científica bilateral.

    "Decidimos reforçar a competitividade dos nossos países e que devemos privilegiar primeiro o ensino, porque conhecer a cultura e a língua do nosso parceiro é um factor chave para a competitividade e permite a intensificação das trocas", explicou o primeiro-ministro francês, Dominique de Villepin.
    "Portugal é um parceiro de primeiro plano da França, as nossas relações em todos os domínios são excelentes, em particular porque 800 mil portugueses - 250 mil dos quais têm nacionalidade francesa - formam uma comunidade dinâmica, viva, calorosa e particularmente bem integrada no nosso país", continuou Villepin.

    O protocolo em questão visa o desenvolvimento e a promoção do Português e do Francês em ambos os sistemas educativos. Já o segundo texto incide na criação de um grupo de trabalho para a equivalência e reconhecimento dos diplomas universitários, nomeadamente mestrados e doutoramentos. Neste mesmo texto, a cooperação científica bilateral deverá centrar-se em áreas prioritárias, como nanotecnologia, tecnologias de informação e comunicação, biotecnologia, ciências da saúde, medicina e engenharia biomédica, oceanografia e ciências marinhas, ciências da alimentação e a agronomia.

    Mas De Villepin foi mais específico, referindo que o seu Governo quer "aproximar as relações entre os dois países, em particular na área dos transportes ferroviários e das tecnologias de informação".

    "Portugal e França têm a mesma visão no futuro da Europa precisa de aprofundar o projecto europeu, que é o único que garante uma melhoria das condições para a economia europeia e também o único a promover os valores europeus no mundo", declarou, por sua vez, José Sócrates.

    O primeiro-ministro português demonstrou satisfação por registar que entre Portugal e França se partilham os mesmos pontos de vista.
    "Tive a ocasião de trocar impressões com o primeiro-ministro e o presidente da República, a propósito da minha visita a Angola, e julgo que não apenas aquela região, mas todo o continente africano precisa de uma ligação com a UE, que lhes permita aproveitar todas as oportunidades de desenvolvimento que hoje se colocam", concluiu Sócrates.

    Na sequência da cimeira franco-portuguesa, o primeiro-ministro José Sócrates aproveitou para anunciar que o primeiro Fórum de empresários e gestores de origem portuguesa deverá ter lugar no próximo mês de Junho e que tem em vista a constituição da Câmara de Comércio Luso-Francesa. Sócrates quer que esta câmara de comércio em Paris "seja equivalente à câmara franco-portuguesa que já existe em Lisboa".

    "Em matéria económica, Portugal e França têm grandes responsabilidades mútuas. França é o segundo mercado mais importante para Portugal, e Portugal também é um mercado muito interessante para a França", concluiu. A Câmara de Comércio Luso-Francesa será fundada com base numa associação criada há alguns meses, por grandes empresas portuguesas instaladas no território francês. Entre a comitiva portuguesa, com cerca de 30 pessoas, ente as quais, a modelo Taxa de Vasconcelos, o Autarca Paulo Marques, o Deputado Carlos Gonçalves, a actriz Maria de Medeiros ou o realizador Manoel de Oliveira.

    Jornal Noticias 06.04.11

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique